"FiveForty° est en pleine expansion, c’est un cabinet de conseil en solutions Microsoft attractif aussi bien pour un débutant qui a tout à y gagner que pour des spécialistes qui pourront toujours monter en compétences sur des clients très diversifiés."
Avec enthousiasme, Michel nous dépeint son cadre de travail. On lui demande alors d’évoquer sa scolarité. " Je suis un repris de justesse", confie Michel avec un clin d’œil. A son élocution très rapide assortie d’un ton enjoué, on imagine facilement un enfant turbulent, toujours prêt à faire les quatre cents coups. Pas du tout. C’est un garçon sage qui se souvient d’une enfance heureuse dans un cocon familial douillet.
"FiveForty° est en pleine expansion, c’est un cabinet de conseil en solutions
Microsoft attractif aussi bien pour un débutant qui a tout à y gagner que
pour des spécialistes qui pourront toujours monter en compétences
sur des clients très diversifiés."
Avec enthousiasme, Michel nous dépeint son cadre de travail. On lui
demande alors d’évoquer sa scolarité. "Je suis un repris de justesse", confie
Michel avec un clin d’œil. A son élocution très rapide assortie d’un ton
enjoué, on imagine facilement un enfant turbulent, toujours prêt à faire
les quatre cents coups. Pas du tout. C’est un garçon sage qui se souvient
d’une enfance heureuse dans un cocon familial douillet.
A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde, la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité. Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine. Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études. Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active. Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.
A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique
que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde,
la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité.
Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine.
Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études.
Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active.
Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.
Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour s’occuper de la solde du contingent. " J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.
Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour
s’occuper de la solde du contingent. "J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.
Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement." Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise en place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting.
Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement
chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard
il intègre l’ESN Viseo.
Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement." Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise en place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting. Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard il intègre l’ESN Viseo.
Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant." C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics.
"De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde." Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux." °
Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant." C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics.
"De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde." Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux." °
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