Bonne étoile
Récemment intégré au sein de FiveForty°, Joseph a le sentiment d’ouvrir une nouvelle voie dans le développement du nouveau cabinet de conseil en solutions Microsoft.
"Je suis le premier à présenter un profil qui ne soit ni finance, ni technique : je suis consultant fonctionnel supply chain. Entre autres, j’opère des correctifs pour aider GC Aesthetics dans les problèmes qu’il rencontre au quotidien", dit-il. Cette particularité, Joseph l’a vue d’emblée comme un challenge hyper motivant : "Je travaillais sur du projet, et l’autre moitié du temps, j’ouvrais la partie support en supply chain logistique. Le tout dans une start-up d’à peine un an et demi en pleine croissance." Covid-19 oblige, Joseph démarre en télétravail. "Recruté en avril 2020, je viens de faire la connaissance du reste de l’équipe il y a seulement quelques jours." Pas de problème pour lui, il a toujours su compter sur son sens de l’adaptation.
"FiveForty° est en pleine expansion, c’est une ESN attractive aussi bien
pour un débutant qui a tout à y gagner que pour des spécialistes qui
pourront toujours monter en compétences sur des clients très diversifiés".
Avec enthousiasme, Michel nous dépeint son cadre de travail. On lui
demande alors d’évoquer sa scolarité. "Je suis un repris de justesse", confie
Michel avec un clin d’œil. A son élocution très rapide assortie d’un ton
enjoué, on imagine facilement un enfant turbulent, toujours prêt à faire
les quatre cents coups. Pas du tout. C’est un garçon sage qui se souvient
d’une enfance heureuse dansun cocon familial douillet.
Récemment intégré au sein de FiveForty°, Joseph a le sentiment
d’ouvrir une nouvelle voie dans le développement du nouveau
cabinet de conseil en solutions Microsoft.
"Je suis le premier à présenter un profil qui ne soit ni finance, ni technique
: je suis consultant fonctionnel supply chain. Entre autres, j’opère des
correctifs pour aider GC Aesthetics dans les problèmes qu’il rencontre au
quotidien", dit-il. Cette particularité, Joseph l’a vue d’emblée comme un
challenge hyper motivant : " Je travaillais sur du projet, et l’autre moitié du
temps, j’ouvrais la partie support en supply chain logistique. Le tout
dans une start-up d’à peine un an et demi en pleine croissance."
Covid-19 oblige, Joseph démarre en télétravail. "Recruté en avril 2020,
je viens de faire la connaissance du reste de l’équipe il y a seulement
quelques jours." Pas de problème pour lui, il a toujours su compter sur son
sens de l’adaptation.
Né à Lyon, il suit ses parents dans le sud de la France où son son père ingénieur dans un
grand groupe français de dermo-cosmétique est muté. Quelques années plus tard, les
mêmes causes produisent les mêmes effets et c’est à Boston que Joseph poursuit sa
scolarité pendant trois ans dans un établissement bilingue. A Marseille, son année de
césure en école de commerce renforce encore ses qualités de caméléon. Pendant un an
en Australie, il développe les ventes de produits du terroir français. "Culturellement, ce
n’était pas simple de parler cassoulet et foie gras avec des personnes qui n’ignoraient
rien des process de fabrication…", se souvient Joseph. Au registre des souvenirs, il nous en
partage quelques-uns qui en disent long sur l’enfant facétieux, taquin et un peu turbulent
qu’il était en internat. Parmi le best of, au gré des établissements qui ont eu l’heur de
l’accueillir, on retrouve pêle-mêle la coupure de l’eau chaude des douches en plein hiver,
des objets que le bon goût empêche de nommer répartis sur l’oreiller du surveillant ou
une bataille de polochon qui finit mal avec une dent cassée.
Joseph fait ses armes chez Flexmind où il fait la connaissance d’un certain Alexandre.
Le courant passe. "Avant et après le process de recrutement on se rencontrait avec les futurs
collègues dans le cadre d’afterworks ou de repas de Noël." Après un an dans le groupe Up
spécialisé dans le Chèque Déjeuner, Joseph a le sentiment d’avoir fait le tour du sujet.
Le départ de collègues qui le tiraient vers le haut achève de le décider. Il entre chez FiveForty°.
"Cela a été tout de suite un autre rythme. Ma mission pour GC Aesthetics m’offrait les
opportunités dont j’avais toujours eu envie avec une dimension internationale, des
implantations et des produits vendus partout dans le monde." Joseph est ravi. Seul bémol,
le Covid qui bloque pour l’instant les projets de déplacement à l’étranger.
Au quotidien, le sentiment d’être bien managé prédomine. "Ce sont des gens compétents,
à l’écoute, proches mais pas trop non plus. Et puis ce contexte de croissance rapide avec des
clients aussi variés me convient parfaitement", ajoute Joseph.
Au bureau, il n’est pas question que de problématiques clients. "Avec Maciré et Alexandre,
on est à fond sur le foot. Eux plus sur le terrain, moi, davantage dans mon canapé, même si
enfant je jouais pas mal." Plus jeune, Joseph se consacre dix ans à la guitare. Classique au
départ, plus électrique aujourd’hui. Désormais, il est l’heureux propriétaire d’une belle Gibson
qui fait sa fierté. Dans son panthéon personnel, le concerto d’Aranjuez a cédé depuis
longtemps la place à Led Zeppelin, aux Pink Floyd, Mark Knopfler, Clapton, Alvin Lee et autres
guitar heroes.… Joseph apprécie également les voyages. Mais en ces périodes de
déplacements contraints, il se contente de visiter quelques souvenirs. Comme ceux d’un road
trip de trois mois à travers l’Australie ou encore d’un périple épique en Afrique de l’Ouest.
"En allant voir une de mes sœurs sage-femme humanitaire, j’ai parcouru les routes de la
Sierra Leone, de Guinée et du Libéria. Il faut imaginer des étapes de douze heures avec
dix personnes dans la voiture, deux sur le toit, une autre dans le coffre et quelques chèvres pour
faire bonne mesure…", sourit Joseph. "De la Sierra Leone, je retiens surtout sa beauté intense,
ses innombrables cours d’eau, le contraste des couleurs entre le rouge saturé de la terre, le
vert profond de la jungle et le blanc lumineux du sable des plages bordées de cocotiers."
Joseph est intarissable. Il dévoile un rêve de saut en parachute. Et une passion pour des films
comme Casino et les Affranchis, où la notion de clan et de liens sont mis en lumière. Il se
confie alors et évoque ses trois familles. A l’âge de 18 ans, il fait la connaissance de François,
son père biologique. Il se sont découverts mutuellement après une très longue lettre de
Joseph. "La rencontre fut un moment très fort. J’ai fait par la suite la connaissance de mes
demi-sœurs, à Boston et à Paris. Puis François a présenté à ses frères, neveux, nièces et
cousins ce fils dont tous découvraient aussi l’existence." Aujourd’hui en couple depuis
un peu plus de six ans, Joseph se demande encore s’il va se marier un jour : "je ne vois pas
comment je vais pouvoir inviter tout le monde !", s’inquiète-t-il en éclatant de rire.
Misant sans doute déjà sur son sens aigu de l’adaptation.°
Plus court, plus vite
Né à Lyon, il suit ses parents dans le sud de la France où son son père ingénieur dans un grand groupe français de dermo-cosmétique est muté. Quelques années plus tard, les mêmes causes produisent les mêmes effets et c’est à Boston que Joseph poursuit sa scolarité pendant trois ans dans un établissement bilingue. A Marseille, son année de césure en école de commerce renforce encore ses qualités de caméléon. Pendant un an en Australie, il développe les ventes de produits du terroir français. "Culturellement, ce n’était pas simple de parler cassoulet et foie gras avec des personnes qui n’ignoraient rien des process de fabrication… ", se souvient Joseph. Au registre des souvenirs, il nous en partage quelques-uns qui en disent long sur l’enfant facétieux, taquin et un peu turbulent qu’il était en internat. Parmi le best of, au gré des établissements qui ont eu l’heur de l’accueillir, on retrouve pêle-mêle la coupure de l’eau chaude des douches en plein hiver, des objets que le bon goût empêche de nommer répartis sur l’oreiller du surveillant ou une bataille de polochon qui finit mal avec une dent cassée.
A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique
que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde,
la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité.
Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine.
Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études.
Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active.
Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.
Comptable en uniforme
Joseph fait ses armes chez Flexmind où il fait la connaissance d’un certain Alexandre. Le courant passe. "Avant et après le process de recrutement on se rencontrait avec les futurs collègues dans le cadre d’afterworks ou de repas de Noël." Après un an dans le groupe Up spécialisé dans le Chèque Déjeuner, Joseph a le sentiment d’avoir fait le tour du sujet. Le départ de collègues qui le tiraient vers le haut achève de le décider. Il entre chez FiveForty°. "Cela a été tout de suite un autre rythme. Ma mission pour GC Aesthetics m’offrait les opportunités dont j’avais toujours eu envie avec une dimension internationale, des implantations et des produits vendus partout dans le monde." Joseph est ravi. Seul bémol, le Covid qui bloque pour l’instant les projets de déplacement à l’étranger.
Au quotidien, le sentiment d’être bien managé prédomine. "Ce sont des gens compétents, à l’écoute, proches mais pas trop non plus. Et puis ce contexte de croissance rapide avec des clients aussi variés me convient parfaitement", ajoute Joseph.
Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour
s’occuper de la solde du contingent. "J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.
Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement". Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au Directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting.
Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement
chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard
il intègre l’ESN Viseo.
Au bureau, il n’est pas question que de problématiques clients. "Avec Maciré et Alexandre, on est à fond sur le foot. Eux plus sur le terrain, moi, davantage dans mon canapé, même si enfant je jouais pas mal." Plus jeune, Joseph se consacre dix ans à la guitare. Classique au départ, plus électrique aujourd’hui. Désormais, il est l’heureux propriétaire d’une belle Gibson qui fait sa fierté. Dans son panthéon personnel, le concerto d’Aranjuez a cédé depuis longtemps la place à Led Zeppelin, aux Pink Floyd, Mark Knopfler, Clapton, Alvin Lee et autres guitar heroes.… Joseph apprécie également les voyages. Mais en ces périodes de déplacements contraints, il se contente de visiter quelques souvenirs. Comme ceux d’un road trip de trois mois à travers l’Australie ou encore d’un périple épique en Afrique de l’Ouest. "En allant voir une de mes sœurs sage-femme humanitaire, j’ai parcouru les routes de la Sierra Leone, de Guinée et du Libéria. Il faut imaginer des étapes de douze heures avec dix personnes dans la voiture, deux sur le toit, une autre dans le coffre et quelques chèvres pour faire bonne mesure…", sourit Joseph. "De la Sierra Leone, je retiens surtout sa beauté intense, ses innombrables cours d’eau, le contraste des couleurs entre le rouge saturé de la terre, le vert profond de la jungle et le blanc lumineux du sable des plages bordées de cocotiers."
Joseph est intarissable. Il dévoile un rêve de saut en parachute. Et une passion pour des films comme Casino et les Affranchis, où la notion de clan et de liens sont mis en lumière. Il se confie alors et évoque ses trois familles. A l’âge de 18 ans, il fait la connaissance de François, son père biologique. Il se sont découverts mutuellement après une très longue lettre de Joseph. "La rencontre fut un moment très fort. J’ai fait par la suite la connaissance de mes demi- sœurs, à Boston et à Paris. Puis François a présenté à ses frères, neveux, nièces et cousins ce fils dont tous découvraient aussi l’existence." Aujourd’hui en couple depuis un peu plus de six ans, Joseph se demande encore s’il va se marier un jour : "je ne vois pas comment je vais pouvoir inviter tout le monde !", s’inquiète-t-il en éclatant de rire. Misant sans doute déjà sur son sens aigu de l’adaptation.°
Premiers contacts
Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant". C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics.
"De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde". Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux".°
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