Bonne étoile
"En termes de recrutement, notre cible est celle des consultants finance. Pour les profils fonctionnels, on privilégie les profils qui ont connu AX d’abord en tant que users. On recherche plutôt des gens qui viennent du métier", pointe Diana.
Au premier contact, quand le feeling passe au téléphone, qu’elle sent une pointe d’humour et une vraie curiosité du candidat, Diana propose un entretien avec les associés. "Dans un univers de sollicitation intense, je cherche un état d’esprit qui va matcher avec nos valeurs de partage, d’écoute et d’innovation. Je veux cerner ce qu’attend la personne d’une start-up. Surtout quand beaucoup sont issus de grands cabinets."
"FiveForty° est en pleine expansion, c’est une ESN attractive aussi bien
pour un débutant qui a tout à y gagner que pour des spécialistes qui
pourront toujours monter en compétences sur des clients très diversifiés".
Avec enthousiasme, Michel nous dépeint son cadre de travail. On lui
demande alors d’évoquer sa scolarité. "Je suis un repris de justesse", confie
Michel avec un clin d’œil. A son élocution très rapide assortie d’un ton
enjoué, on imagine facilement un enfant turbulent, toujours prêt à faire
les quatre cents coups. Pas du tout. C’est un garçon sage qui se souvient
d’une enfance heureuse dansun cocon familial douillet.
"En termes de recrutement, notre cible est celle des consultants
finance. Pour les profils fonctionnels, on privilégie les profils qui ont
connu AX d’abord en tant que users. On recherche plutôt des gens
qui viennent du métier", pointe Diana.
Au premier contact, quand le feeling passe au téléphone, qu’elle sent
une pointe d’humour et une vraie curiosité du candidat, Diana propose
un entretien avec les associés. "Dans un univers de sollicitation intense,
je cherche un état d’esprit qui va matcher avec nos valeurs de partage,
d’écoute et d’innovation. Je veux cerner ce qu’attend la personne d’une
start-up. Surtout quand beaucoup sont issus de grands cabinets."
La ville près du Danube. Ainsi nomme-t-on Brăila en Roumanie, la cité qui se déploie le
long de ses rives. C’est ici que Diana voit le jour, six ans après la révolution, dans une famille
de commerçants. Pleine d’énergie, elle préfère la compagnie des garçons. Au grand dam
de sa grand-mère Maria qui adore l’habiller en Barbie, tout en blanc. Mais elle préfère le
foot et revient régulièrement couverte de boue. "Tu ne montes pas sur le toit des
immeubles !", lui intime encore Maria. Mais l’appel de l’interdit et le besoin de hauteur sont
plus forts. Diana adore grimper le plus haut possible pour voir la ville illuminée se lover en
éventail dans les courbes du Danube.
Tout se joue dès l’enfance dit-on. Celle de Diana le confirme. Elle revoit sa grand-mère plongée
en permanence dans les papiers et les factures de ses commerces. Diana se souvient : "Petite,
j’avais un petit carnet bleu et je m’amusais avec ce que j’imaginais être des factures." Quand
d’autres jouaient à la marchande, elle se voyait plutôt dans le rôle de la comptable. Arrivée en
France à l’âge de douze ans, Diana est bonne élève, en maths notamment. Elle se souvient de
ses deux quartiers de prédilection à Paris, Montmartre et le quartier latin. Elle aime toujours à
y revenir : "Le Sacré Cœur et Notre Dame me parlent. Ce qu’ils me disent me touche, et je ne
sais pourquoi."
Plus tard, au lycée international de Paris, elle prépare un BTS de comptabilité. "Après le BTS,
j’entre en DCG pour un diplôme général de comptable, mais là se trouvaient aussi des gens
en reconversion professionnelle, bien plus âgés que moi." Elle décide d’arrêter cette école.
En parallèle, elle envisage un diplôme de comptabilité générale en alternance et dépose des
CV. Lagardère la contacte, elle passe l’entretien. Son énergie, son état d’esprit font des
étincelles. Elle ajoute au passage qu’elle parle couramment quatre langues : le roumain,
le français, l’anglais et l’espagnol. Deux jours plus tard, elle est rappelée et on lui propose
d’emblée un CDI. Elle occupera un poste de comptable pendant trois ans.
De Lagardère, Diana passe directement à FiveForty°. Le déclic a lieu lors du premier séminaire
du nouveau cabinet de conseil en solutions Microsoft en septembre 2018. Les épouses
et compagnes des collaborateurs sont invitées.
Alexandre, Catherine et Jonathan devisent autour de la problématique du recrutement
des start-up en croissance rapide. Diana explique qu’elle aimerait beaucoup les aider avec
ses réseaux et un bon usage de LinkedIn. Diana à l’instinct de la chasseuse de
têtes. Elle gagne la confiance des associés et se tiendra à l’affût des meilleurs profils.
Elle se lance en auto-entrepreneur. Sa méthode a convaincu le board. Il lui propose le poste
multifacettes d’assistante de direction avec un premier filtre sur le recrutement.
La voici intégrée au team FiveForty°.
On lui demande si l’esprit de famille et de soutien qui règne chez FiveForty° est soluble dans la
croissance rapide de l’entreprise. Diana est confiante : "on pourra doubler largement le nombre
de salariés. Ce qui se diffuse entre nos murs infuse en une jolie base pour garantir
à l’avenir ce qui fait notre différence aujourd’hui." Diana souligne l’aspect intergénérationnel
de FiveForty°.
"On n’est pas dans le cliché de la start-up. Chez nous, seniors et juniors composent une
osmose de compétences et d’énergies remarquables", note Diana. Ce qui l’agace dans son
métier : "quand je n’ai pas de réponse d’un profil qui m’intéresse." Ce qui lui plaît : "le soutien
dont j’ai besoin de mes managers, par exemple sur des relances difficiles. Ils montent au
créneau pour moi. Je ne suis pas consultante, mais le support je connais aussi !", rit-elle.
"Au final, ce que j’adore entre tout dans mon job, c’est d’avoir la sensation d’être utile dans
des missions très concrètes", conclut Diana.°
Plus court, plus vite
La ville près du Danube. Ainsi nomme-t-on Brăila en Roumanie, la cité qui se déploie le long de ses rives. C’est ici que Diana voit le jour, six ans après la révolution, dans une famille de commerçants. Pleine d’énergie, elle préfère la compagnie des garçons. Au grand dam de sa grand-mère Maria qui adore l’habiller en Barbie, tout en blanc. Mais elle préfère le foot et revient régulièrement couverte de boue. "Tu ne montes pas sur le toit des immeubles !", lui intime encore Maria. Mais l’appel de l’interdit et le besoin de hauteur sont plus forts. Diana adore grimper le plus haut possible pour voir la ville illuminée se lover en éventail dans les courbes du Danube.
A tel point d’ailleurs qu’il ne le quittera qu’à l’âge de trente-trois ans. Son père lui explique
que pour être tranquille dans la vie, il faut être sérieux. Il l’est. Mais à l’orée de la seconde,
la motivation décline. Un conseiller le remotive en lui parlant d’un BEP de comptabilité.
Obtenu brillamment, il rattrape sa route vers un bac G2 où la compta est reine.
Les résultats sont bons. On conseille à Michel de s’orienter vers de longues études.
Mais lui préfère un parcours plus court pour entrer plus vite dans la vie active.
Sa décision est prise, ce sera un BTS. Il enchaîne ensuite sur une maîtrise de gestion.
Comptable en uniforme
Et puis il a aussi des contraintes, notamment celles du service militaire "Pendant dix mois, à Montauban puis Vincennes" reprend Michel. Là, il endosse l’uniforme du comptable pour
s’occuper de la solde du contingent. "J’étais chanceux avec ce poste tranquille après des classes plus rugueuses", précise-t-il. Juste après l’armée, la chance l’attend encore dans une agence d’intérim. On lui propose de remplacer au poste de comptable une collaboratrice qui s’est cassée la jambe. "En fait, le PMU me met le pied à l’étrier", s’amuse Michel. Il y restera trois ans. Puis d’autres horizons s’ouvrent à lui. Notamment publicitaires chez Publicis Conseil.
Des sociétés de services l’accueillent. Jusqu’à Kaba. Ce spécialiste des portes coulissantes lui ouvre les siennes. "Souhaitant renouveler leur système d’information, ils avaient besoin de mon expérience pour être accompagnés dans ce changement". Les solutions du marché ne plaisent pas à Michel. C’est alors que des consultants de Navision viennent le voir. Leur offre plait au Directeur comptable de Michel et l’implémentation est mise place avec succès. Michel ayant découvert le métier de consultant est tenté par l’activité. Intéressé par la compétence comptable de Michel, Navision lui propose de le former au consulting.
Puis Michel entre chez Colombus, intégrateur AX. Les projets s’enchaînent, spécialement
chez Saint-Gobain Glass. Ensuite, il entre chez Avanade et quelques années plus tard
il intègre l’ESN Viseo.
Tout se joue dès l’enfance dit-on. Celle de Diana le confirme. Elle revoit sa grand-mère plongée en permanence dans les papiers et les factures de ses commerces. Diana se souvient : "Petite, j’avais un petit carnet bleu et je m’amusais avec ce que j’imaginais être des factures." Quand d’autres jouaient à la marchande, elle se voyait plutôt dans le rôle de la comptable. Arrivée en France à l’âge de douze ans, Diana est bonne élève, en maths notamment. Elle se souvient de ses deux quartiers de prédilection à Paris, Montmartre et le quartier latin. Elle aime toujours à y revenir : "Le Sacré Cœur et Notre Dame me parlent. Ce qu’ils me disent me touche, et je ne sais pourquoi."
Plus tard, au lycée international de Paris, elle prépare un BTS de comptabilité. "Après le BTS, j’entre en DCG pour un diplôme général de comptable, mais là se trouvaient aussi des gens en reconversion professionnelle, bien plus âgés que moi." Elle décide d’arrêter cette école. En parallèle, elle envisage un diplôme de comptabilité générale en alternance et dépose des CV. Lagardère la contacte, elle passe l’entretien. Son énergie, son état d’esprit font des étincelles. Elle ajoute au passage qu’elle parle couramment quatre langues : le roumain, le français, l’anglais et l’espagnol. Deux jours plus tard, elle est rappelée et on lui propose d’emblée un CDI. Elle occupera un poste de comptable pendant trois ans.
Premiers contacts
Deux ans après, Flexmind le contacte avec un argument décisif : "Ici tu n’auras pas une kyrielle de projets mais un seul, important et captivant". C’est ainsi que Michel démarre en 2012 sur le projet Geodis et fait la connaissance de nombre de ses collègues d’aujourd’hui. En 2017, il quitte le salariat pour le statut d’indépendant et opère pour le groupe Saur. "Pendant ce temps, Geodis s’était séparé de Flexmind pour rejoindre FiveForty°. Jonathan m’appelle pour me proposer de reprendre en sous-traitant sur Geodis en conservant mon nouveau statut", résume le consultant finance Dynamics.
"De toute façon, quand Jonathan a voulu monter sa structure, je n’ai pas hésité une seule seconde". Celui que la chance n’a jamais lâché précise : "Ici, on ne sent pas le poids de la structure, l’aspect famille est palpable. Ce lien social ajouté à la diversité des clients, c’est ce qui donne envie de bosser avec eux".°
De Lagardère, Diana passe directement à FiveForty°. Le déclic a lieu lors du premier séminaire du nouveau cabinet de conseil en solutions Microsoft en septembre 2018. Les épouses et compagnes des collaborateurs sont invitées. Alexandre, Catherine et Jonathan devisent autour de la problématique du recrutement des start-up en croissance rapide. Diana explique qu’elle aimerait beaucoup les aider avec ses réseaux et un bon usage de LinkedIn. Diana à l’instinct de la chasseuse de têtes. Elle gagne la confiance des associés et se tiendra à l’affût des meilleurs profils. Elle se lance en auto-entrepreneur. Sa méthode a convaincu le board. Il lui propose le poste multifacettes d’assistante de direction avec un premier filtre sur le recrutement. La voici intégrée au team FiveForty°.
On lui demande si l’esprit de famille et de soutien qui règne chez FiveForty° est soluble dans la croissance rapide de l’entreprise. Diana est confiante : "on pourra doubler largement le nombre de salariés. Ce qui se diffuse entre nos murs infuse en une jolie base pour garantir à l’avenir ce qui fait notre différence aujourd’hui." Diana souligne l’aspect intergénérationnel de FiveForty°.
"On n’est pas dans le cliché de la start-up. Chez nous, seniors et juniors composent une osmose de compétences et d’énergies remarquables", note Diana. Ce qui l’agace dans son métier : "quand je n’ai pas de réponse d’un profil qui m’intéresse." Ce qui lui plaît : "le soutien dont j’ai besoin de mes managers, par exemple sur des relances difficiles. Ils montent au créneau pour moi. Je ne suis pas consultante, mais le support je connais aussi !", rit-elle. "Au final, ce que j’adore entre tout dans mon job, c’est d’avoir la sensation d’être utile dans des missions très concrètes", conclut Diana.°
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